Ne tuons pas la beauté du monde
Chaque fleur, chaque arbre que l’on tue
Revient nous tuer à son tour
Ne tuons pas la beauté du monde
Ne tuons pas le chant des oiseaux
Ne tuons pas le bleu du jour
Ne tuons pas la beauté du monde
La dernière chance de la terre
C’est maintenant qu’elle se joue
Ne tuons pas la beauté du monde
Faisons de la terre un grand jardin
Pour ceux qui viendront après nous
Paroles extraites de la chanson Hymne à la beauté du monde écrite par Luc Plamondon en 1979 et interprétée, la première fois, par Diane Dufresne. L’auteur a dégagé l’essentiel de ce thème qui demeure, 40 ans plus tard, malheureusement, encore très actuel. Sauf un. Après les fleurs, les arbres, les oiseaux, le bleu du jour et le jardin qu’est la terre, ce sont les humains qui disparaîtront.
Ne tuons pas la beauté du monde
La poésie des gens qui s’aiment
Chaque couleur de chaque peau
Ne tuons pas la beauté du monde
Car les livres écrits dans toutes les langues
Pourraient mourir avec leurs mots